Démarrer une psychothérapie est une décision qui se mature.
Il est courant que votre élan soit contre-balancé de pensées et d'affects défavorables.
- Vous êtes vous déjà dit ?
"Ce n'est pas grave ça ira mieux demain...", "Je peux me débrouiller seul...", "C'est désespéré personne ne peut rien pour moi..."
- Avez vous déjà ressenti des émotion de peur, colère, honte ou des sentiments de lassitude, exaspération, défaitisme ?
"Je suis en colère contre moi-même...", "J'en suis encore là, perdu, j'ai honte...", "Toute façon ça ne sert à rien..."
Cette situation mobilise la peur de l'inconnu.
Demander de l'aide est un acte de courage et responsabilité qui vous honore.
Lors de la
première séance, j'accueille votre demande
, la clarifie et répond à vos questions. Ensemble, nous
posons le cadre de la
thérapie : confidentialité, non passage à l'acte, fréquence et durée des séances, tarif, modalités d'annulation et de fin de thérapie. En cas
d’accord, le travail peut commencer.
Au cours du travail thérapeutique, je vous reçois tel que vous êtes, avec
bienveillance et sans intention. En face à face, à votre rythme, dans l'ici et maintenant, nous partons de votre expérience sensible pour identifier ce qui fait souffrance.
À l'écoute de mes sensations, je résonne à ce qui :
- Occupe vos pensées : préoccupations, états d’âme, une intuition,
un sentiment, une expérience heureuse, une situation à priori sans
importance.
- Mobilise votre corps, une sensation, émotion, un ressenti.
- Relève de l’imaginaire : une image, un son, un rêve
Pas à pas, nous explorons comment être en lien avec nos sensibilités. Nous repérons vos impasses de contact et éclairons les répétitions qui vous entravent. Forts de nos expérimentations, en cabinet de psychothérapie, vous mobilisez vos apprentissages pour ouvrir de nouvelles perspectives. Centré sur vos besoins, vous êtes plus libre et autonome.
La
fin de thérapie est un moment précieux. À votre initiative, nous entamerons la
phase de retrait.
- Nous pourrons lui donner la forme d’un bilan. De se reconnecter au chemin parcouru, aux
représentations que chacun se fait de soi et de l’autre, de la relation et du travail thérapeutique.
- C’est parfois aussi une ouverture vers la
nouveauté, qui pourra être mis au travail dans la foulée de cette fin
présupposée.
La véritable fin c’est celle qui conclue la relation entre le
client et le gestalt thérapeute.